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Diriger, Servir, Travailler

Trois verbes, trois actions, trois valeurs.


Diriger.

 Il n'y a plus qu'au sein de nos démocraties que nous posons le problème de gouvernance. Au delà d'une Direction qui donne le sens, les peuples attendent plus. Transparence, Équité, Exemplarité.

Transparence par la compréhension du contenu, du processus et du sens de la décision.

Équité par la justesse d’une décision collective équilibrée.

Exemplarité par une pratique dont les conséquences ne sauraient être "justes" remises en cause par un simple désaccord; mais au contraire par des décisions dont les bénéfices serviraient aussi bien la "tête que les jambes".

Ne devrions nous pas assurer un « management» de compétences, de changement, de communication et d'organisation? Tout cela dans un monde de complexité.

Qui peut légitimement considérer qu’il peut agir seul ?


Tout se pense, se co-construit et se déploie en équipe. Comment faire autrement ?

Ne nous y trompons pas, la décision reviendra toujours au dirigeant, mais il aura consulté, impliqué et concerné l’équipe dirigeante.


Servir.

Comment imaginer qu’un dirigeant ne soit pas au Service ? Servir ses clients, adhérents, ressortissants. Mais également ses actionnaires, ses patrons, ses responsables. Enfin ses collaborateurs, ses collègues jusqu’au plus bas de l’échelle.  Trois dimensions en équilibre pour une décision ajustée. Le service est l’assurance de comprendre ce que les autres attendent de nous. Et y répondre est l’assurance d’une satisfaction et d’une fidélité à toute épreuve.


Travailler.

Considérer le travail comme un levier de développement de l’Homme : développement de lui même, mais également de son environnement et de son écosystème. Ni une finalité, ni juste un moyen « financier », le travail doit s’inscrire comme une « élévation » au service de l’Intérêt Général et du Bien Commun. Chacun doit trouver une place complémentaire, mais aussi source de synergie et de réciprocité. Travailler dans le respect et la « finitude » du travail des autres ; comprendre ses limites et en quoi les autres vont contribuer à enrichir mon travail ; apporter de la valeur à la collectivité dont les retombées enrichiront le moyen et le long terme, mais également le pauvre, le démuni et le faible.


Et si nous commencions dans nos organisations? et si nous considérions que nos entreprises, nos organisations publiques, nos associations étaient le terreau fertile d'un changement de "Direction", d'un changement de paradigme?

 

Ce changement s’opérerait parfois de manière radicale, peut-être tranché, mais en préservant la finalité de La structure et en réservant à ses acteurs un « devenir meilleur »?

On peut rêver ?

 

 

 

 

 

 

 

 

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