Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • « La Russie après les crises géopolitiques actuelles »

    Voici une information de l'IRCE:

    Dans le cadre des dîners IRCE « Relations internationales » de la rotonde Gabriel
     
    Notre prochain invité sera
     
    l’ancien diplomate et écrivain de renom d’origine russo-ukrainienne
    Vladimir FEDOROVSKI

    Biographie
     
    Sur le thème
     
    « La Russie après les crises géopolitiques actuelles »
    avec dédicaces de ses livres et notamment de son dernier best-seller
    « Poutine, l’itinéraire secret »  

    Le mardi 21 octobre 2014  de 19h30 à 22h30
    Dédicaces de 19h30 à 20h et en fin de dîner
     
    Ecole militaire - Rotonde Gabriel -  Espace Duverney
    1, place Joffre - 75007 Paris
    Métro Ecole Militaire
     
    Membres 30 euros, non membres 40 euros
     
    Parking proche ou possible à l’intérieur sur demande préalable
    Inscription préalable nécessaire – merci de prévoir votre carte d’identité
     
    Formalités d’inscription : voir document ci-joint
     
    Charte de participation consultable sur http://irce.overblog.com


     

  • Aux anciens combattants, aux vieux soldats...

    Voilà une chanson pour les patriotes: Au vieux Soldat http://www.youtube.com/embed/shBxm5x6QTs et pour ceux qui croient toujours que certaines valeurs façonnent encore notre pays.

    Attendez la fin de la chanson...

  • Le Business avec la Russie n’est pas prêt de s’arrêter

    Trouvé via les réseaux sociaux, ce blog mérite un peu d'attention et de réflexions.

    http://www.newpointdeview.com/pro/interculturel/

    Édité par un (jeune) immigrant Russe, il donne à lire et comprendre un point de vue différent.

  • Nouveau Directeur de l'IHEDN

    Biographie du général de corps d’armée Bernard de Courrèges d’Ustou

    Imprimer

     

    Général de corps d’armée Bernard de COURRÈGES d’USTOU
    Directeur de l’Institut des hautes études de défense nationale
    et de l’Enseignement militaire supérieur

     

    Né le 19 mars 1960, le général de corps d’armée Bernard de Courrèges d’Ustou est admis à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr, en septembre 1979. À sa sortie, en 1981, il choisit l’arme blindée cavalerie et effectue son stage d’application à l’École d’application de l’arme blindée cavalerie (EAABC) de Saumur en qualité de sous-lieutenant.

    Affecté, en 1982, au 3e régiment de hussards à Pforzheim (RFA), il y sert successivement comme chef de peloton AMX10RC, comme chef de peloton Boeselager (Challenge interallié des unités de reconnaissance) et enfin, comme officier traitant au bureau opérations instruction.

    Promu capitaine en 1986, il est muté à l’EAABC comme commandant de brigade à la 4e division d’instruction des élèves officiers de réserve. Affecté, en 1988, au 12e régiment de cuirassiers de Müllheim (RFA), il commande le 1er escadron de chars AMX30B2, pendant trois ans.

    En 1991, il est muté à la direction des services financiers du ministère de la Défense comme rédacteur au bureau de la statistique et des études économiques. Il est promu chef d’escadrons en 1992.

    Reçu, en 1993, au concours de l’Enseignement militaire supérieur scientifique et technique (EMSST), il suit une scolarité de deux ans à l’École nationale supérieure des techniques avancées (Ensta) et obtient le titre d’ingénieur en recherche opérationnelle. Stagiaire de la 109e promotion du cours supérieur d’état-major, puis de la 4e promotion du Collège interarmées de défense (CID), il est promu lieutenant-colonel en 1996.

    Affecté, en 1997, au bureau planification-finances (BPF) de l’état-major de l’armée de Terre, il est chargé, en particulier, de la gestion du budget "Titre V" (investissements) de l’armée de Terre.

    Promu colonel en 2001, il reçoit le commandement du 1er/11e régiment de cuirassiers à Carpiagne (13), régiment de 80 chars de la 3e brigade mécanisée. De septembre 2002 à janvier 2003, il exerce les fonctions de RepFrance Pamir, commandant les forces françaises en Afghanistan, comprenant, notamment, le bataillon français de la Force internationale d’assistance à la sécurité (Fias) à Kaboul et le détachement "Epidote" de formation de l’armée nationale afghane.

    En 2003, il est à nouveau affecté au bureau planification-finances de l’État-major de l’armée de Terre, comme chef de section "Titre V", puis comme chef de bureau de 2004 à 2007.

    En 2007, chargé de mission auprès du secrétaire général au Secrétariat général de la défense nationale (SGDN), devenu Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN), en janvier 2010, il participe, notamment, aux travaux d’élaboration du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, puis aux travaux d’élaboration du projet de loi de programmation militaire pour les années 2009 à 2014.

    Promu général de brigade, le 1er juillet 2008, il est nommé conseiller pour le secrétariat des conseils de défense. Le 11 mars 2010, il est nommé chef du cabinet militaire du Premier ministre. Il est promu général de division le 1er février 2011et général de corps d’armée le 1er septembre 2013.

    Il est nommé directeur de l’Institut des hautes études de défense nationale et de l’Enseignement militaire supérieur à compter du 14 août 2014 (Mesure d’ordre individuel du 30 juillet 2014).

    Le général de corps d’armée de Courrèges d’Ustou est officier de la Légion d’honneur et titulaire de la croix de la Valeur militaire.

    Il est marié et père de quatre enfants.

  • MAUX-ROSE-ITUDE?

    Le temps est peut être venu de s'interroger sur nos responsabilités en tant qu'acteur du développement de notre pays.

    J'ai le sentiment que nous nous complaisons dans une "Maux-Rose-itude", qui ressemblerait à une forme de dépression tout en rejetant la faute de tous nos maux sur le gouvernement actuel.

    Notre monde économique, social, écologique, technologique, international, etc. est en profonde mutation depuis les années 90 et la seule chose qui ne change pas, ce sont nos attitudes et nos croyances vis à vis d'un système politique franco-français. L'état ne peut plus "tout" comme c'était encore le cas dans les années 80 lorsque nous étions dans une pseudo autarcie.

     Aujourd'hui quelles actions concrètes peut faire un gouvernement qui n'a la "main" que sur des dettes (mais qui pourrait faire plus si il en avait le courage et l’autorité)? Avec des influences extérieures supérieures à la puissance de ses interventions internes? Avec un temps politique en décalage avec le temps économique?

    Alors, oui, il faut sans doute remettre en perspective la véritable "trop faible" influence du politique dans notre nouveau monde et s'accorder sur l'effort collectif que nous avons à fournir pour que notre pays soit compétitif dans l'économie de demain matin.

     Par exemple:

    Chercher des économies qui soient sources de développement, notamment en diminuant la pression fiscale des entreprises et des citoyens.

     Développer "l'écolo-nomie", car nous ne saurons faire face à 10 milliards d'habitants après demain matin.

     Renforcer la R&D à tous les niveaux, notamment en rapprochant les entreprises des universités.

     Développer une éducation Européenne et/ou internationale par des programmes d'échanges obligatoires.

     Renforcer la Citoyenneté à tous les échelons sociaux de notre pays en remettant en place un service National qui ne soit pas uniquement militaire.

     Développer une économie au service des personnes et non l'inverse.

     Créer un sursaut collectif pour une mobilisation Nationale en formalisant une « Vision » pour notre pays.

     etc.

      Ce ne sont pas les objectifs à court terme qui doivent nous guider, mais l'ensemble de nos actions de fond qui transformeront profondément et durablement l'état d'esprit collectif pour que l'adaptation au changement soit une part inhérente de notre culture.

     Nous serons évalués sur notre capacité à mettre en œuvre cette mutation car elle produira nécessairement des résultats à la hauteur de nos espérances les plus grandes, et parce qu’une politique à long terme fini par payer un jour ou l’autre.

      Il y a encore tant de choses à dire qu'un simple message n'y suffira pas.

     Remobilisons-nous RAPIDEMENT en agissant ensemble et collectivement!

    "Le temps de nos élections" fera le reste.

     Faites passer…